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Comment Homeland est devenu le n° 1 des néo-syndics de copropriété

Par Christian Capitaine | Le | Réseaux-franchise

Lancé en 2016, le néo-syndic de copropriété Homeland a enregistré, à partir de septembre 2020, une forte accélération de son activité en multipliant par deux le nombre de ses clients. Avec 350 immeubles en gestion, il revendique ainsi le statut de numéro 1 des syndics en ligne. Interview de son CEO, Renaud Lerooy.

Frédéric Remeur et Renaud Lerooy, cofondateurs de Homeland - © D.R.
Frédéric Remeur et Renaud Lerooy, cofondateurs de Homeland - © D.R.

Pouvez-vous rappeler les points-clés du concept de Homeland ? 

Nous sommes un néo-syndic de copropriété construit autour de trois principaux piliers. D’une part, la réactivité, puisque nos équipes sont à la disposition de nos clients 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 pour répondre aux urgences techniques.

Deuxièmement, la transparence, grâce à notre plate-forme logicielle qui offre une entière visibilité tant sur les projets techniques et juridiques qu’au niveau des comptes (notre mode de fonctionnement est proche ici de celui des banques en ligne).  

Troisièmement, l’originalité de notre organisation, construite, d’abord, autour de nos « référents de copropriétés », qui sont les interlocuteurs principaux de nos clients, chacun gérant une trentaine de copropriétés (ils organisent les AG, se déplacent très régulièrement dans les copropriétés, etc.).

Puis autour de nos pôles d’expertises dans les domaines juridique, technique, comptable, gestion du personnel d’immeuble et développement durable, qui viennent en soutien de nos « référents de copropriétés », et qui gèrent les cas exceptionnels ou sensibles : gros travaux, incendies, sinistres…  

Quels éléments vous distinguent des autres néo-syndics de copropriété ? 

Homeland fut, en 2016, le premier néo-syndic de copropriété à être lancé en France. Notre organisation par pôles d’expertises est également unique dans notre profession sur le Territoire. Nous sommes aussi le numéro 1 des néo-syndic de copropriété en termes de nombre de copropriétés gérées, puisque nous en gérons à ce jour 350, très majoritairement en Ile-de-France, ainsi que quelques-unes en région nantaise, chacune comptant en moyenne une quarantaine d’appartements.

J’ajoute que notre mode d’organisation bâti sur le travail collaboratif entre nos pôles d’expertises et nos référents de copropriétés nous permet - et c’est ce qui fait aussi notre singularité - de gérer de grosses copropriétés. La plus importante que nous ayons en gestion est située à Paris, dans le 17ème arrondissement, et compte plus de 700 logements.   

Comment vous êtes-vous développés ces derniers mois sur le plan commercial ? 

Après avoir levé 2 millions d’euros en 2019 - ce premier tour de table nous a permis de déployer nos services en région parisienne - nous avons enregistré, à partir de septembre 2020, une forte accélération de notre activité puisque à cette époque nous ne gérions que 180 copropriétés, contre, pour rappel, 350 à ce jour.

Ce gonflement de notre portefeuille d’immeubles gérés s’explique notamment par la proposition, à nos clients, de solutions en visio pour réaliser, en période de Covid-19, les assemblées générales de copropriétaires.

Restent nos objectifs de développement : dès le second semestre 2021, nous déploierons nos services en régions bordelaise et lyonnaise, et, en 2022, en Belgique (avec Bruxelles) et en Allemagne. 

La préservation de l’environnement : un enjeu-clé de la stratégie de Homeland

« En France, 20 % des émissions de gaz à effet de serre proviennent de l’habitat. Les syndics de copropriété ont donc un rôle primordial de conseil et d’accompagnement afin de réduire l’empreinte écologique des résidences », affirme-t-on chez Homeland. Pour répondre à ces exigences, le néo-syndic annonce avoir fait passer à l’électricité verte l’équivalent de la consommation annuelle de trois Tours Eiffel en renégociant les contrats d’électricité de toutes ses copropriétés avec un fournisseur d’énergie verte produite en France. « De plus, nous avons accompagné, au cours des dernières années, les travaux de rénovation de 15 % des chaudières collectives des copropriétés de notre parc qui en sont équipées (passage du fioul au gaz), ce qui a permis d’optimiser la consommation de 20 % en moyenne par copropriété, entraînant une réduction des charges et une meilleure empreinte écologique des copropriétés concernées. »