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« MeilleursBiens affichera un CA en hausse de 25 % en 2022 » (Michael Benchabat)

Par Christian Capitaine | Le | Réseau de mandataires

Comptant, fin 2022, près de 400 mandataires, le réseau MeilleursBiens vise, pour l’an prochain, un doublement de ses effectifs. Il vient de doter ses agents de nouveaux outils et dresse un bilan très positif de l'édition 2022 du salon RENT où ses équipes ont rencontré une nouvelle typologie de professionnels intéressés par son modèle. Interview de son président, Michael Benchabat.

L'équipe de MeilleursBiens à l’occasion du salon RENT 2022, avec, à droite, Michael Benchabat. - © D.R.
L'équipe de MeilleursBiens à l’occasion du salon RENT 2022, avec, à droite, Michael Benchabat. - © D.R.

En cette fin d’année 2022, quels nouveaux outils mettez-vous à disposition de vos mandataires ?

Nous venons de nous doter d’un nouvel outil d’estimation qui permet, aux porteurs de projets immobiliers de nos agents commerciaux, d’estimer leur bien, partout en France, et ce en seulement quelques clics.

Ainsi, nos mandataires sont capables de générer des rapports d’estimation en s’appuyant, d’une part, sur la méthode comparative (nous nous basons, ici, sur des millions de biens immobiliers vendus en France), puis sur celle de la capitalisation.

De plus, nous avons ajouté, sur leur site, un widget d’estimation « générateur de leads » qui leur permet de recevoir les coordonnées des vendeurs qui y réalisent une estimation. Nous proposons ce nouveau service sur la base d’un abonnement de 10 euros par mois.

Vous venez également d'équiper votre site internet d’un bot…

Oui, et il s’agit là de la deuxième grande nouveauté chez MeilleursBiens pour cette fin d’année. Baptisé Edouard, cet assistant virtuel (ou bot) permet de répondre à plus de 150 cas de figures répertoriés.

Il est non seulement utile pour les particuliers qui souhaitent s’informer sur notre réseau, mais également pour nos agents mandataires qui peuvent lui poser des questions telles : « Comment diffuser une annonce sur un portail ? » « Comment réaliser une signature électronique ? » ou encore « Comment réaliser une estimation d’un bien ? ».

Où en est le développement de MeilleursBiens ?

Nous poursuivons la densification de notre réseau : alors que nous comptions 250 mandataires il y a un an, nous franchirons, à la fin de l’année, la barre des 400. Après quatre ans d’activité, le réseau commence à s’installer durablement dans le paysage français de l’immobilier. Pour recruter, le bouche-à-oreille fonctionne notamment très bien.

Si bien qu’à la clôture de notre exercice 2022, nous approcherons les 13 millions d’euros de chiffre d’affaires, soit une progression de près de 25 % par rapport à 2021.

Pouvez-vous rappeler certains éléments de votre modèle qui vous distinguent des autres réseaux de mandataires ?

Nous sommes les seuls à garantir, aux agents mandataires, un commissionnement à 100 %, sans aucune condition (paliers, chiffre d’affaires, etc.). Aussi, en leur apportant les meilleurs outils digitaux à la pointe de la technologie, nous leur permettons d’augmenter leur productivité et leur efficacité.

Enfin, MeilleursBiens, qui recrute pour 90 % de ses effectifs des professionnels expérimentés, reste maître de son capital : pour grandir, nous n’avons pas levé de fonds.

Et précisément sur le plan des objectifs, nous tablons sur le recrutement, en 2023, de 400 nouveaux agents, pour atteindre les 800 mandataires. Parmi les villes que nous ciblons en priorité figurent Béziers, Caen, Carcassonne, Deauville, Le Havre, La Rochelle, Nîmes, Poitiers et Reims.

Quel bilan dressez-vous du salon RENT qui a fermé ses portes le 9 novembre ?

Le bilan est très positif. Il va même au-delà de celui qu’il était à la clôture de l’édition 2021. Cette année, nous avons rencontré, sur notre stand, des agents commerciaux désireux d’en savoir plus sur notre modèle, mais également (et c’est une nouveauté par rapport au RENT de l’an dernier) de nombreux professionnels, à la tête d’agence avec vitrine, qui souhaitent changer leur façon de travailler en compressant notamment leurs coûts de fonctionnement.